Parqué avec des dizaines d'autres béliers après avoir été importé, Casimodo attendait le couteau qui mettrait fin à ses jours pour des croyances religieuses humaines. Il souffrait de fièvre des transport et de diverses autres affections qui l'ont maintenu longtemps en quarantaine.
Le traitement de Casimodo par les humains qui ont croisé son chemin a été tel qu'il préfère se fondre dans son troupeau pour ne pas attirer l'attention. Il n'y a qu'avec douceur et patience qu'il peut se détendre un tout petit peu, mais sa préférence restera toujours son troupeau et ses semblables.