Sans l'intervention d'Animaux en Péril et d'autres refuges, Casimir et ses 83 congénères auraient été abattus illégalement chez un agriculteur-marchand. Ce dernier détenait son cheptel dans les pires conditions au point que certains d'entre eux étaient entre la vie et la mort au moment de l'intervention des refuges. Deux n'ont d'ailleurs pas survécu au manque de soins. Casimir se montre encore timide à l'approche des humains, mais il savoure pleinement sa nouvelle vie dans les installations confortables du refuge.